Centré sur Dieu!

Ann L Beaulieu, Blogueuse, auteure et conférencière. Déterminée, expressive, colorée et persévérante dans la foi à cause de Dieu!

Nos pensées sont à l’origine des résultats!

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Il y a déjà 10 ans de cela, j’écrivais mon premier livre, « La foi : pour un nouvel équilibre santé ». Quand j’ai écrit ce livre, je n’étais pas une professionnelle de la santé et je n’en suis pas plus une aujourd’hui. Ce que vous lisez sur ce blogue, ce ne sont que mes expériences personnelles ainsi que ce que j’ai appris dans mes lectures et mes luttes avec la nourriture.

Il arrive occasionnellement qu’on me pose des questions très pertinentes suite à la lecture de ce livre. Parfois, je peux répondre; d’autres fois, les gens doivent trouver leurs propres réponses dans leur cheminement avec le Seigneur et la nourriture.

Dernièrement, on m’a posé une question que je voulais partager avec vous, car j’ai pensé que d’autres femmes pourraient se poser la même question et s’y identifier. Il nous est si difficile de parler ouvertement de notre poids ou de verbaliser nos luttes…

La personne en question désire arrêter de vivre le fameux syndrome du yoyo alimentaire et n’y arrive pas. Elle me demande si j’ai des trucs pour calmer sa faimet son vide.

Je tiens tout d’abord à dire que dans mon livre je ne donne aucun truc pour maigrir, et il y a une très bonne raison pour cela. C’est simple : je crois qu’étant toutes différentes, il nous appartient de trouve le comment, le pourquoi et de quelle façon nous désirons perdre du poids de façon équilibrée.

De plus, comme je ne suis pas diététicienne, je ne suis pas en mesure de donner des conseils à ce sujet. Par contre, il y a plein de gens que vous pourriez consulter pour vous aider. Je vous recommande fortement de vous tourner vers une professionnelle comme une diététiste-nutritionniste, qui elle sera en mesure de faire un suivi adéquat ainsi que vous suggérer un régime alimentaire équilibré, adapté pour vous et à VOTRE goût.

Ceci dit, comment fait-on pour arrêter le fameux syndrome du yoyo alimentaire?

C’est une excellente question! En fait, il n’y a pas de réponse facile, chères sœurs.

Nous savons tous que nous ne pouvons rien changer de nous-mêmes. Les habitudes, les vieilles manies que nous avons de toujours retourner à nos anciennes façons de faire sont très confortables. Donc, il n’est pas surprenant que lorsqu’on veut intégrer un changement alimentaire, cela devient un réel combat, une lutte où rien ne sera facile. Parfois, nous sommes confiantes et nous avons tendance à penser que nous avons enfin réussi à régler notre pire cauchemar, pour ensuite nous rendre compte que nous avons succombé à la tentation de manger deux fois plus que ce que nous désirions.

Pour moi, la seule et unique façon de réussi à m’en sortir et de me rappeler constamment que c’est par la puissance de mon Dieu seule que je peux y arrive. Ce n’est pas par ma volonté, par mes propres forces, ou en essayant d’avoir plus de courage ou de motivation. Ça, chères sœurs, c’est de la bouillie pour les chats et du langage mondain. Ça ne tient pas la route pour un enfant de Dieu qui veut s’appuyer sur la Parole de Dieu.

Nous devons nous rappeler que nous avons été régénérées par Christ et que nous sommes maintenant des enfants du Roi (Éphésiens 4 : 17-24). Donc il nous est possible, par la puissance de l’Esprit qui nous habite, de combattre le mensonge que l’ennemi tente de nous faire croire : que nous sommes incapables d’atteindre notre objectif d’arrêter ce syndrome du yoyo. OUI, vous êtes capable! Mais vous devez combattre par la foi dans la prière en y mettant tout l’effort humain possible.

Ce qui veut dire que cela ne sera pas toujours facile. Il y aura des temps où vous allez devoir renoncer à vos désirs charnels. La chair est faible, mais celui qui vit en nous est plus fort que tout et que vous. Il faut apprendre à maîtriser ses désirs lorsqu’ils arrivent, en les passant au tamis de la vérité, en se posant les vraies et bonnes questions :

  • Est-ce que je vais vraiment gaspiller tous les efforts que j’ai faits jusqu’à ce jour pour jouir de quelques instants de plaisir? Non! Donc, je continue sur le chemin de la droiture en me relevant et en persévérant sur la route d’une meilleure santé.
  • Avant de poser le geste nuisible qui vous élongera de votre but, posez-vous cette question : l’aliment que je vais manger va-t-il vraiment satisfaire mon désir profond?
  • Qu’est-ce que je pourrais faire au lieu de manger, pour combler mon vide ou mon malaise et rester centrée sur Dieu aujourd’hui?
  • N’oubliez pas ceci : « Nos pensées sont à l’origine des résultats. »1

Maintenant la deuxième partie – ai-je des trucs pour aider à calmer la faim ou le vide qu’on peut avoir.

En fait, je vais vous partager ce que je pratique dans ma propre vie. C’est très simple, car je n’aime pas les choses compliquées.

  • Dieu seul doit combler votre vide! Dans nos vides, plusieurs choses (incluant la nourriture) peuvent remplir nos vies. Mais pour une femme chrétienne, seul Dieu doit remplir ce vide en elle. Je sais que c’est facile à écrire, mais autre chose à vivre. Quand vous êtes tentée de vous mettre de la nourriture en bouche pour combler vos douleurs, tristesse, peine ou autre besoin, rappelez-vous l’œuvre de votre Sauveur à la croix. Dites-vous que ce sacrifice est pour vous, sa bien-aimée.

 

  • Pratiquez la persévérance! Vous savez, nous ne venons pas au monde avec la persévérance. C’est un trait du chrétien qui se développe avec les années dans la maturité, dans les épreuves et dans la prière, par l’œuvre de l’Esprit en nous. Cela ne nous vient pas naturellement. Nous devons demander à notre Dieu qu’il nous accorde la persévérance dans nos vies. Même pour des choses comme l’alimentation! Priez et demandez à Dieu la persévérance dans vos habitudes alimentaires.

 

  • Vous devez apprendre à gérer vos émotions et vos impulsions. Bien des fois, lorsqu’on est poussée à manger, ce sont nos émotions que nous mangeons; nous réagissons à nos impulsions. Prenez le temps de bien réfléchir avant d’agir et de voir si vous avez vraiment faim. Je vous suggère d’attendre au moins une heure avant de manger. Faites quelque chose d’autre sans penser à la nourriture. Si après une heure vous avez encore l’intention ou le désir de manger, faites-le, mais en quantité raisonnable. De cette façon, vous n’agirez pas sous l’impulsion et vous risquez de manger moins.

 

  • Apprendre à se voir comme une personne ayant déjà gagné la bataille! C’est facile dans ces moments de se voir comme la victime et d’être dans un état de déprime et de découragement. Pourtant, avec notre Dieu nous sommes plus que vainqueur et nous avons tout ce qui nous est nécessaire pour avoir la victoire en Christ. Il s’agit de lutter dans la prière, avec celui qui peut nous aider, Jésus! Si vous essayez seule, vous n’y arriverez PAS! Pour un temps peut-être, mais avec Jésus à tes côtés, ta bataille sera assurément gagnée. Tu devras y mettre des efforts et du travail, bien sûr. Mais il te donnera le courage et la force pour atteindre tes buts. Ton accent doit être à la bonne place.

 

  • Trouve-toi une amie à qui tu peux être redevable. Trouve quelqu’un en qui tu as confiance et à qui tu peux partager tes luttes, prier avec elle, pleurer, quelqu’un qui peut te garder redevable face à tes engagements sur tes désirs alimentaires. Fais la même chose pour le fait que tu combles ton vide avec autre chose que Dieu. Confie-toi à ta partenaire aussi. C’est une étape importante dans ta démarche pour t’en sortir de ce cercle vicieux dont tu es aux prises. Je t’encourage, qui que tu sois de chercher à te joindre à une personne de confiance. C’est ce qui te fera grandir spirituellement et prendre ton envol dans ta démarche alimentaire, si tu es vraiment sérieuse pour changer, là où tu es responsable de ta vie.

Voilà ce que je peux dire pour vous encourager, chères sœurs, pour vous aider à mettre en action quelques trucs, afin que votre vie alimentaire soit prise en charge. Tout cela sous la grande main souveraine de notre grand Dieu.

En espérant que ce billet puisse vous aider et vous encourager à comprendre que les recettes miracles n’existent pas. Par contre, par la persévérance, la foi, Christ, et de la mise en action au quotidien, on peut y parvenir.

Bon courage à vous toutes et soyez persévérantes!

Ann L Beaulieu

1 BEAULIEU, L., Ann, La foi : pour un nouvel équilibre santé, Longueuil, Éditions Ministères Multilingues, 2017, p. 77

Anne : un portrait de grâce féminine – Hannah: A Portrait of Feminine Grace

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Anne : un portrait de grâce féminine

Il va sans dire que j’aime bien la signification du nom de Anne! Quoique je trouve, en ce qui me concerne, ce n’est pas parce qu’on porte le nom qu’on a toujours ce qui l’accompagne. Mais par la grâce de Dieu, il nous transforme. Je pense qu’Anne a dû aussi grandir dans sa vie de grâce au travers les difficultés de sa vie.

Ce chapitre était un peu plus long, il contient de très belles leçons à retenir, car Anne a vécu de grandes épreuves dans sa vie comme beaucoup d’entre nous.

Parmi tous ces beaux paragraphes, j’ai choisi de faire ressortir l’aspect qui m’a le plus touchée dans la vie de cette femme. C’est à dire, à quel point elle était une femme de prière engagée et consacrée à Dieu. Elle était fidèle même si elle n’avait pas encore obtenu ce que son cœur désirait! Malgré cela, elle persévérait et elle continuait à prier sans relâche. Elle allait au temple avec son mari qui faisait des sacrifices et elle demandait continuellement à YHWH son plus cher désir.

Comme il est écrit dans la Parole de Dieu, son mari était bigame. Il avait des enfants avec son autre épouse, Pennina. Elle était la rivale de Anne, car Anne était stérile et désirait avoir des enfants avec son mari Elkana, qu’elle aimait beaucoup d’ailleurs. Honnêtement, ceci est un portrait assez difficile à regarder, et encore plus à vivre. Mais par grâce, Anne persévère et continue à prier pour que Dieu lui accorde un enfant. Il est important de souligner que son désir d’avoir un enfant n’est pas pour satisfaire ses propres besoins, mais avant tout pour que son enfant (s) soit consacré au Seigneur. On s’entend qu’ici, on ne parle pas de consécration à la légère, l’enfant devra quitter le nid vers l’âge de trois ans ou trois ans et demi. Voilà pourquoi elle était capable de prier de cette façon.

Quoi? Tu pries intensément pour avoir un enfant et lorsque le Seigneur te répond, tu lui offres ton enfant en très bas âge… OUI! Fidèle à sa prière, elle tient son engagement envers son Dieu. Anne avait une relation intime avec YHWH et voilà pourquoi elle était capable de prier de cette façon.

Quelle fidélité! Son cœur de mère a certainement eu du chagrin. Elle a forcément visité son fils occasionnellement, mais elle a tenu avec persévérance l’engagement à sa prière et la grâce de Dieu l’a soutenue. Malgré tout ce qu’elle a pu vivre, nous voyons qu’elle connaissait son Dieu, elle l’aimait, et elle vivait la grâce de Dieu dans sa vie pour la transmettre autour d’elle. Par son beau témoignage, elle a légué un héritage à ses autres enfants qui ont suivi : son amour pour son Dieu et sa foi pour YHWH.

Puissions-nous être encouragés par le témoignage de Anne. Continuons dans nos requêtes de prières à persévérer, à ne pas nous relâcher, car Dieu est fidèle, il répond à celui qui vient à Lui avec foi.

Voilà, à votre tour de partager.

Amitié fraternelle,

Ann L Beaulieu

 

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Hannah: A Portrait of Feminine Grace

It goes without saying that I love the meaning of the name of Hannah! Although I do believe that it is not because you bear that name that you necessarily have the attribute that accompanies it; at least that is my two cents worth about it. Yet, by God’s grace, He does transform us. I’m inclined to think that Hannah must have grown even more gracefully through her many difficulties in life.

This chapter was a bit longer than the other ones, with many different lessons that can be gleaned from it, since Hannah went through so many trials in her life. Many of us can identify with her.

In this chapter I have chosen to focus on the aspect that truly touched me the most about this woman’s life, which would be: seeing how she was a woman of prayer, engaged and consecrated to her God. She was faithful despite the fact that she didn’t have what her heart desired at the moment, when she desired it! Even amidst the adversity, she continued to pray without ceasing, went to the temple with her husband who made sacrifices, and she continually prayed YHWH for her heart’s desire.

As it is written in the Bible, her husband was a bigamist; his other wife’s name was Peninnah, and she had children. She was Hannah’s “rival”, since Hannah was sterile and desired to have children with her husband Elkanah whom she dearly loved. Honestly, this is a hard picture to look at and a hard life to live. Yet, with grace, Hannah perseveres and continues to pray that God will grant her with a child. She even goes so far as to say to the Lord that she will give her son back to Him if he should grant her this prayer. Let’s get this straight here: when Hannah talks about consecration, she isn’t thinking like we usually think, but it’s more like when he’s 3 or 31/2 years old, he is leaving home for good. Hannah desired a child not for herself and to satisfy her longings as a mother, but foremost so the child (or children) would be consecrated to the Lord. That is why Hannah was capable of praying that kind of prayer.

What! You pray intensely for a child and the Lord offers you one, and then you give him back to Him so young…YES!!! That is exactly what she prayed, and she kept her promise and engagement before her God. Hannah had an intimate relationship with YHWH and that is why she was capable of praying in such a manner.

What faithfulness that is! Certainly her mother’s heart had pangs of pain at moments; each year, she went up to see her son and maybe also at moments in-between, as some scholars say. One thing is for sure, she held on and kept her engagement in prayer by grace, and God sustained her. Despite all that Hannah went through in her life, we clearly see that she knew her God, that she loved Him and lived a life of grace to have a legacy to be transmitted to the next generation. She was a wonderful testimony, to her children that followed, by her love for her God and her faith in YHWH.

May we be encouraged by Hannah and continue to bring to God our prayer requests with perseverance, not relinquishing ourselves, because God is faithful to answer the one who faithfully calls on Him with faith.

That’s it; it’s your time to share if you wish.

In sisterly love,

Ann L Beaulieu

 

 

Sara : espérer contre toute espérance – Sarah: Hoping Against Hope

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Sara : espérer contre toute espérance

****Enfin, voici la deuxième partie, qui en principe devait être en ligne pour le 25 septembre 2015, mais qu’il ne m’a pas été possible de respecter à cause de circonstances incontournables dans ma vie!!! Je m’excuse et je vous remercie de tout cœur pour votre compréhension à cet égard. Je fais de mon mieux pour respecter les dates que je vous ai données, mais parfois la vie ne va pas toujours comme nous l’avions planifiée!!!

Au départ, je peux déjà vous dire que Sara et moi avons quelques petits points en commun! Je vais tout de même me réserver le droit d’avoir une petite gêne ici et ne pas révéler tous mes petits défauts, mais je peux imaginer que je ne suis pas la seule à s’identifier à Sara!?

Je n’ai pas aimé lire ces paroles de John MacArthur, mais cela m’a fait réfléchir :

« Mais en lisant le récit biblique de sa vie, il est impossible de ne pas remarquer qu’elle a parfois un mauvais comportement. Elle pique des crises, elle est manipulatrice, et elle sait même être méchante. »1

Par contre, j’ai aimé la façon dont il fait ressortir non seulement le bon côté, mais les deux côtés de cette femme. En fait, ce qu’il y a de bon en elle vient de la grâce de Dieu et de Son œuvre en elle. Ceci m’a beaucoup encouragée, car c’est la même chose pour nos vies à nous! Sans l’œuvre rédemptrice de notre Sauveur à la croix, il n’y a aucun espoir de changement véritable pour nos vies.

Comme nous, Sara avait de grandes forces accompagnées de grandes faiblesses. Cela à cause qu’elle était une femme pécheresse, ce que nous sommes aussi chères sœurs! Donc comme elle, notre cœur peut parfois nous induire en erreur.

Nous avons vu dans ce chapitre que Sara est passée à travers toutes sortes d’épreuves et que sa foi a faibli par moment. Mais à la fin de tout, Sara est citée dans la Parole comme une femme de foi.

« C’est par la foi que Sara elle-même, malgré son âge avancé,

fût rendue capable d’avoir une postérité,

parce qu’elle crut à la fidélité de celui qui avait fait la promesse. »

                                                                                        Hébreux 11 : 11

Comme c’est encourageant! C’est là que nous voyons que c’est vraiment à cause de Christ et de Son œuvre qu’elle a pu accomplir et réussir ce que Dieu lui demandait et non par ses propres forces. Car nous avons vu à plusieurs reprises que Sara tentait de prendre les choses en main et de gérer la situation, mais sans résultat. Sommes-nous différents de Sara à cet égard?

La promesse que Dieu avait faite à Abraham a fini par s’accomplir, mais pas au moment où elle s’y attendait. Plusieurs années se sont écoulées depuis que Dieu avait fait cette promesse à Abraham. Car elle a eu son enfant à l’âge de quatre-vingt-dix ans !!

Enfin, ce que je retiens le plus dans ce chapitre, c’est que je suis moi-même capable et parfois très vite pour agir comme Sara et prendre les choses en main. Quoique je n’aie pas une promesse officielle de la part de Dieu, j’ai sa Parole qui me guide et me garde chaque jour. Cela devrait être suffisant pour m’empêcher de douter, m’égarer et m’inquiéter lorsque tout semble s’écrouler autour de moi. Ma fondation doit rester seulement sur la Parole de Dieu et non sur les gens et leurs opinions! Parfois, je doute parce que je me préoccupe davantage de l’opinion de ceux qui m’entourent que sur ce que la Parole en dit. Suivre les voies de Dieu implique la Foi et un renoncement à soi-même et à notre bien-être!!! Ce n’est pas facile, enfin pour moi, mais c’est possible par Christ qui vit en MOI!

Voilà, à votre tour de partager.

Amitié fraternelle,

1Page 49

Ann L Beaulieu

 

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Sarah: Hoping Against Hope

*****At last, here is the second blog which was supposed to be posted on my website the 25th of September 2015. Due to uncontrollable circumstances in my life, it was not possible!!! I am extremely sorry and do appreciate your understanding and comprehension towards this situation. I am doing my best to respect the dates that I have given to you; unfortunately life doesn’t always go as we have it planned out!

To begin with, I want to say that Sarah and I have quite a lot of things in common! Yet I will refrain myself from revealing all of my imperfections and stay somewhat shy with my flaws. Yet I can imagine that I am not alone to identify myself with Sarah?!

I didn’t like reading this quote from John MacArthur:

But reading the biblical account of her life, it is impossible not to notice that she sometimes behaved badly. She could throw fits and tantrums. She knew how to be manipulative. And she was even known to get mean.” 1

I did however like reading how he revealed to us both sides of this woman, and not only her good side. In fact, what is good about her comes from the grace of God and His work in her. This is what encouraged me greatly because it’s the same thing in our lives: without the redeeming work of our Savior at the cross, there is no hope of real change in our own lives.

Like us, Sarah had great strengths and great weaknesses. That was because she was a sinner like we are also, dear sisters! So, like her, at times our hearts are inclined to error.

We also saw in this chapter that Sarah went through many difficulties, hardships of life, and that her faith grew weak at times. Yet in the end, Sarah was cited in the Bible as a woman of faith.

By faith Sarah herself also received strength to conceive seed, and she bore a child when she was past the age, because she judged Him faithful who had promised.

Hebrews 11:11

This is so encouraging! This is where we see that it was really because of Christ and his work in her that she was able to accomplish and do all of what God had demanded of her, and it did not depend on her own strength. Despite the fact that we did see at certain times Sarah try to take things into her own hands and control certain events and situations. Aren’t we like Sarah in certain situations in our lives?

The promise that God made to Abraham is accomplished in her life, but not at the time expected. What I mean is: ninety years old to have a baby sort of seems late! Many years went by before God accomplished his promise made to Abraham.

What I retain most from this chapter is that I am as quick and capable as Sarah to act and take control of things in my own personal life. Despite the fact that I don’t have a personal promise from God, I do however have the promises of the whole Bible to guide and keep me every day. That in itself should be enough to keep me from doubting, wondering, and worrying about my own life, when things seem to be crumbling around me. My foundation should be on the Word of God and not on the people around me. Nor should it be on their opinions about me or the situation! Sometimes I doubt because I am too preoccupied with their opinion rather than what the Word says. Following God implies faith, and a relinquishment of oneself and of pleasing yourself!!! It’s not easy, at least not for me. But it is possible, with Christ who lives in ME!

That’s it; it’s your time to share.

Sisterly love,

Ann L Beaulieu

 

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